Synoptic Sentence View: Sentence 1849
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Malone meurt Segment 1849, version 1 (MS-HRC-SB-7-4, f. 68r)
Il suffit de ne plus n'entendre, dans son trou, pendant quelques jours, d'autre bruit, pendant plusieurs des jours, que celui des choses, pour qu'on commence à se croire le dernier du genre humain.
Malone meurt Segment 1849, version 2 (Temps Modernes, p. 415)
Il suffit de ne plus entendre, dans son trou, pendant quelques jours, d'autre bruit que celui des choses, pour qu'on commence à se croire le dernier du genre humain.
Malone meurt Segment 1849, version 3 (Minuit 1951, p. 149)
Il suffit de ne plus entendre, dans son trou, pendant quelques jours, d'autre bruit que celui des choses, pour qu'on commence à se croire le dernier du genre humain.
Malone Dies Segment 1849, version 4 (MS-WU-MSS008-2-47, f. 108r)
You have only to hear nothing for a few days, in your hole, nothing but the sounds of things, and you begin to fancy yourself the last of human kind.
Malone Dies Segment 1849, version 5 (MS-HRC-SB-4-3, f. 108r)
You have only to hear nothing for a few days, in your hole, nothing but the sounds of things, and you begin to fancy yourself the last of human kind.
Malone Dies Segment 1849, version 6 (MS-UoR-1227-7-11-1, f. 108r)
You have only to hear nothing for a few days, in your hole, nothing but the sounds of things, and you begin to fancy yourself the last of human kind.
Malone Dies Segment 1849, version 7 (Grove Press 1956, p. 81)
You have only to hear nothing for a few days, in your hole, nothing but the sounds of things, and you begin to fancy yourself the last of human kind.
Malone meurt Segment 1849, version 8 (Minuit 1971, p. 131)
Il suffit de ne plus entendre, dans son trou, pendant quelques jours, d'autre bruit que celui des choses, pour qu'on commence à se croire le dernier du genre humain.