Synoptic Sentence View: Sentence 4665
Compare all French versions of this sentence with CollateX
Compare all English versions of this sentence with CollateX
Versions

Molloy Segment 4665, version 1 (MS-HRC-SB-5-1, f. 62r)
et quand je me passais les mains sur le visage par exemple, dans un geste familier et maintenant plus que jamais e rigueur excusable, ce n'était plus le même visage que sentaient mes mains et ce n'étaient plus les mêmes mains que sentait mon visage.
Molloy Segment 4665, version 2 (Minuit 1951, p. 263)
Et quand je me passais les mains sur le visage, dans un geste familier et maintenant plus que jamais excusable, ce n'était plus le même visage que sentaient mes mains et ce n'étaient plus les mêmes mains que sentait mon visage.
Molloy Segment 4665, version 3 (Minuit 1953, p. 263)
Et quand je me passais les mains sur le visage, dans un geste familier et maintenant plus que jamais excusable, ce n'était plus le même visage que sentaient mes mains et ce n'étaient plus les mêmes mains que sentait mon visage.

Molloy Segment 4665, version 4 (MS-WU-MSS008-3-50-2, f. 94r)
And when I passed my hands over my face, in a characteristic and now more than ever pardonable gesture, the face my hands felt was not my face any more, and the hands my face felt were my hands no longer.
Molloy Segment 4665, version 5 (Olympia 1955, p. 233)
And when I passed my hands over my face, in a characteristic and now more than ever pardonable gesture, the face my hands felt was not my face any more, and the hands my face felt were my hands no longer.
Molloy Segment 4665, version 6 (Grove Press 1955, p. 233)
And when I passed my hands over my face, in a characteristic and now more than ever pardonable gesture, the face my hands felt was not my face any more, and the hands my face felt were my hands no longer.
Molloy Segment 4665, version 7 (Olympia and Grove Press 1959, p. 231)
And when I passed my hands over my face, in a characteristic and now more than ever pardonable gesture, the face my hands felt was not my face any more, and the hands my face felt were my hands no longer.
Molloy Segment 4665, version 8 (Minuit 1971, p. 283)
Et quand je me passais les mains sur le visage, dans un geste familier et maintenant plus que jamais excusable, ce n'était plus le même visage que sentaient mes mains et ce n'étaient plus les mêmes mains que sentait mon visage.