
[1108] ce qu'il me semblait, et qui
était peut-être celui [de] tout
simplement celui de la combustion.
[1109] Je préférais le jard A la maison Je préférais le jardin
je préf
à la maison, à en juger par
le temps les longues heures que j'y passais, car
j'y passais la plupart restais passais la
plupart plus grande partie de la
journée et de la nuit, indifférent
qu'il fît beau ou qu'il fît mauvais.
[1112] et au
milieu de ces hommes j'errais
comme une feuille morte à ressorts,
ou je me couchais par terre et
alors ils m'enjambaient, comme
[si j'étais] ils auraient fait [ADDITION]Addition on page
48vsi j'avais été [⁁] un parterre de fleurs.
[1115] et quelquefois il
me venait l'envie de la chercher, pour
la revoir et me rendre compte me
faire une idée plus nette de son état,
voire po rouler un peu sur les allées
et les sentiers qui reliaient
entre elles les différentes parties
du jardin,
[1116] mais cette envie,
[au] au lieu d'essayer de lui
donner satisfaction, je resta là
restais là à la contempler, si
j'ose dire, et à la contempler
qui peu à peu se ratatinait
et finalement disparaissait [ADDITION]Addition on page
48vcomme la peau de chagrin, seulement
beaucoup plus rapidement .
- Segments
Molloy © 2016 Samuel Beckett Digital Manuscript Project.
Editors: Magessa O'Reilly, Dirk Van Hulle, Pim Verhulst and Vincent Neyt