Samuel Beckett
Digital Manuscript Project
Molloy
prev | next

Synoptic Sentence View: Sentence 2698

Versions

Molloy Segment 2698, version 1 (MS-HRC-SB-4-7, f. 18r)

C'est allongé, bien au chaud, dans l'obscurité, que je pénètre le mieux la fausse turbulence du dehors, y situe la créature qu'on me livre, ai l'intuition de la marche à suivre, m'apaise dans la grande les piètres détresses d'autrui.

Molloy Segment 2698, version 2 (Minuit 1951, p. 170)

C'est allongé, bien au chaud, dans l'obscurité, que je pénètre le mieux la fausse turbulence du dehors, y situe la créature qu'on me livre, ai l'intuition de la marche à suivre, m'apaise dans l'absurde détresse d'autrui.

Molloy Segment 2698, version 3 (Minuit 1953, p. 170)

C'est allongé, bien au chaud, dans l'obscurité, que je pénètre le mieux la fausse turbulence du dehors, y situe la créature qu'on me livre, ai l'intuition de la marche à suivre, m'apaise dans l'absurde détresse d'autrui.

Molloy Segment 2698, version 4 (MS-WU-MSS008-3-50-2, f. 23r)

It is lying down, in the warmth, in the gloom, that I best pierce the outer turmoil's veil, discern my quarry, sense what course to follow, find peace in another's ludicrous distress.

Molloy Segment 2698, version 5 (Olympia 1955, p. 151)

It is lying down, in the warmth, in the gloom, that I best pierce the outer turmoil's veil, discern my quarry, sense what course to follow, find peace in another's ludicrous distress.

Molloy Segment 2698, version 6 (Grove Press 1955, p. 151)

It is lying down, in the warmth, in the gloom, that I best pierce the outer turmoil's veil, discern my quarry, sense what course to follow, find peace in another's ludicrous distress.

Molloy Segment 2698, version 7 (Olympia and Grove Press 1959, p. 148)

It is lying down, in the warmth, in the gloom, that I best pierce the outer turmoil's veil, discern my quarry, sense what course to follow, find peace in another's ludicrous distress.

Molloy Segment 2698, version 8 (Minuit 1971, p. 184)

C'est allongé, bien au chaud, dans l'obscurité, que je pénètre le mieux la fausse turbulence du dehors, y situe la créature qu'on me livre, ai l'intuition de la marche à suivre, m'apaise dans l'absurde détresse d'autrui.