
[1822] Néanmoins
j'avais bon espoir de voir un jour
trembler, à travers les frondes
immobiles, comme taillées dans
du cuivre, car jamais nulle
xxx que jamais n'agitait le moindre aucun
souffle,
[1822] l'étrange lumière de la
plaine., Mais ce jour-là, je le aux remous rapides et
redoutais aussi pâle et parcourue
de remous.
pâles.
[1825] Car
je n'étais pas trop mal dans la forêt,
je pouvais me figurer pire, et j'y
serais resté, en permanence, sans
trop de regrets,
sans trop re-
gretter le jour et la plaine et
les autres aménités de ma région,
[1826]
car je les connaissais trop bien,
les aménités de ma région, et
j'estimais que la forêt les valait.
[1830] Car étant dans la forêt,
endroit ni pire ni meilleur que
les autres, et pouvant y rester,
n'étais-je pas en droit xxx d'y
trouver des avantages, pas à cause
de ce qu'elle x était, mais parce que
j'y étais.
- Segments
Molloy © 2016 Samuel Beckett Digital Manuscript Project.
Editors: Magessa O'Reilly, Dirk Van Hulle, Pim Verhulst and Vincent Neyt